Publié dans Culture

Cinéma - « House of Gucci » plaît aux cinéphiles malagasy

Publié le lundi, 13 décembre 2021


Un « must-see ». En salles depuis le 24 novembre dernier à l'étranger, le film réalisé par Ridley Scott avec Lady Gaga, Adam Driver, Jared Leto, Jeremy Irons, Jack Huston, Salma Hayek, Al Pacino a commencé à être diffusé dans les salles de cinéma à Madagascar  depuis quelques semaines. Au plus grand bonheur des cinéphiles malagasy entre autres,  Cinepax et Canal Olympia ont inséré cette histoire évoquant « Luxe, passion, décadence, trahison et vengeance » dans leur calendrier de programmation. En pleine diffusion, l'on entend déjà des chuchotements, réactions, gémissements, ainsi que des rires. Tout cela pour dire que « House of Gucci » a plu aux individus qui l’ont regardé. Ce film a même suscité la curiosité de ceux qui ont raté les commentaires lors des premières diffusions. Non seulement l'histoire de Gucci a envoûté plus d'un mais les apparitions de la Star Lady Gaga n'ont pas été moindres. Ses tenues ainsi que les coiffures diversifiées de cette chanteuse comédienne ont également charmé le public. Depuis le 26 novembre dernier,  « House of Gucci », l'un des événements ciné de l'année 2021, a fait l'unanimité auprès des  amateurs de cinéma fidèles à Cinepax Madagascar, situé au Tana Water Front, Ambodivona. «  J'ai adoré, voilà, je n'ai plus le mot, mon amour du cinéma s'intensifie encore (...) Je n'imaginais pas à quel point le retour sur l'assassinat de Maurizio Gucci, petit-fils héritier de Guccio Gucci, le fondateur de cette célèbre marque de luxe au cinéma, va autant me plaire (...) Etant adepte de la mode, je suis plus que conquise », ont révélé tour à tour les personnes qui sont venues au Cinepax, spécialement pour visionner ce long-métrage.
Synopsys
En outre, Canal Olympia a aussi programmé à sa clientèle la découverte du début de l'histoire d'amour entre Maurizio Gucci et Patrizia Reggiani, ainsi que son achèvement.  Notons que ce film raconte l'histoire de la marque Gucci, reconnue et admirée dans le monde entier. Celle-ci a été créée par Guccio Gucci qui a ouvert sa première boutique d’articles de cuir de luxe à Florence (Italie) il y a exactement un siècle. A la fin des années 1970, l’empire italien de la mode est à un tournant critique de son histoire. Si l’entreprise rayonne désormais à l’international, elle est handicapée par des rumeurs de malversations financières, une innovation en berne et une dévalorisation de la marque. Le groupe est dirigé par les deux fils du fondateur - Aldo, personnage rusé et haut en couleur, et son frère Rodolfo, beaucoup plus froid et traditionnel. Pugnace, Aldo n’a pas la moindre intention de céder le contrôle de l’empire à qui que ce soit - et certainement pas à son fils Paolo, garçon fantaisiste qui aspire à devenir styliste. Quant à Maurizio, fils timide et surprotégé de Rodolfo, il a davantage envie d’étudier le droit que de diriger un groupe de luxe mondialisé. C’est alors que Maurizio tombe amoureux de la ravissante et manipulatrice Patrizia Reggiani et, contre l’avis de son père, décide de l’épouser. Lorsqu’Aldo se découvre des affinités avec Patrizia, il réussit, avec l’aide de la jeune femme, à convaincre son neveu de renoncer à ses ambitions juridiques pour intégrer l’entreprise dont il devient, de facto, le probable héritier. Ce qui ne manque pas de nourrir la rancœur de Paolo, dont le talent n’est pas à la hauteur de ses rêves artistiques…
K.R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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